Type de texte | source |
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Titre | Les Monuments de Rome |
Auteurs | Raguenet, François |
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Date de publication originale | 1700 |
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Date de reprint |
, p. 62-63
Jamais aucun homme, dans l’éclat de la plus grande jeunesse et de la fortune la plus heureuse, n’a eû un air aussi grand qu’a ce Christ[[5:le Christ couronné d’épines du Guide.]] dans le plus déplorable état où une personne puisse être réduite. Il faut bien posséder l’idée du beau, pour la savoir ainsi faire briller jusqu’au milieu des flétrissures et des meurtrissures d’un visage, pour ainsi dire, enseveli dans le sang qui coule de toutes parts, d’une tête toute crevée des épines qui la percent.
Dans :Cadavres et bêtes sauvages, ou le plaisir de la représentation(Lien)